Une maladie inconnue contamine la population de Namur après les inondations

Étourdissements, hallucinations, et une phrase que les malades répètent : « blessé, le sage maudit les inconscients ». C’est du délire ! On dirait une malédiction. J’ai besoin d’une enchanteresse pour concocter un remède pour cette maladie mystérieuse. Est-ce que cela suffira ? Mais qu’arrive-t-il encore à Namur ? Où vient ce nouveau mal ?

Une enchanteresse pour une maladie inconnue

En route pour la Cave des Joghiers le long de la Meuse. L’enchanteresse des lieux va pouvoir nous aider dans notre tâche. Une fois sur place, elle accepte volontiers de nous aider. Par contre, il lui manque l’ingrédient principal. Il se trouve au jardin des deux tours de la citadelle. Je vais devoir y aller moi-même : à cause d’une ancienne mésaventure, l’enchanteresse refuse d’y retourner. Je lui demande pourquoi et elle commence à rougir avant de se cacher le visage et de me lâcher un « parce que » gêné. Je détourne la conversation vers cette fameuse plante. C’est un mandragore pourpre, une plante très rare. Elle me met en garde contre le cri de la plante qui attirera le jardinier. Je devrai l’arroser d’eau de rose. 

La porte dérobée du jardin des deux tours

Ce monde est rempli d’énigmes. Des choses resteront toujours incompréhensibles. Ensemble, nous pouvons en découvrir une partie. Contactez-moi pour tout témoignage concernant des enquêtes existantes. Si vous avez un nouveau mystère à résoudre, n’hésitez pas à me contacter. Je serai ravi de le résoudre si le temps ne nous manque pas. Au plaisir de vous lire !  

Le chemin vers l'ingrédient du remède

Un peu bougon je rumine « bla bla bla, de l’eau de rose… Comme si j’avais de l’eau de rose ». Ah ben tiens ! J’en ai dans ma valise. J’y range vraiment n’importe quoi. Une fois sur place, je visite les lieux à la recherche de la mandragore pourpre. Très vite, je me rends compte qu’elle n’est nulle part. L’heure de la fermeture arrive et le jardinier me demande de sortir. Je m’exécute et sur le chemin de la sortie, j’aperçois une porte cadenassée. Mon instinct me dit que c’est là que je dégoterai ma mandragore pourpre ! Une fois la nuit tombée, je reviens au jardin. La porte cadenassée est entrouverte. Je m’en approche doucement… avant de me figer sur place ! Une main poilue avec d’immenses griffes vient d’ouvrir la porte cadenassée. Je me précipite derrière un mur pour me cacher. Un monstre ?! Ce n’était pas prévu ! Figé de peur, je l’entends monter les escaliers du jardin. Par chance, il n’a pas refermé la porte, c’est le moment d’entrer ! Une fois à l’intérieur, je repère les feuilles pourpres de la mandragore. Fou de joie, je m’en approche avant d’entendre une voix qui m’interpelle. “Qui êtes-vous !?”

Les Namurois guérissent de la maladie inconnue

Surpris, je me retourne en me présentant en tant qu’Inspecteur Jojo et… je n’ai pas réussi à finir ma phrase : le jardinier était nu, comme un ver, devant moi. Gêné, je me retourne. Le jardinier me dit : « Aaah oui pardon ! Ça me le fait toujours quand je me transforme ». Je rétorque : « Oui et bien prenez donc ma veste pour vous couvrir ». Voilà le moment gênant que l’enchanteresse avait vécu ! Enfin bon, maintenant qu’il est « habillé », nous pouvons parler. Il comprend la situation et accepte sans soucis. Tous les ingrédients sont enfin réunis. Rapidement, les habitants de Namur retrouvent leurs esprits. En interrogeant les victimes, j’apprends ce qu’ils effectuaient : leurs tâches n’ont aucun point en commun, mis à part le fait de boire de l’eau du robinet. Pour le moment, l’enquête est trop floue. Il va falloir creuser le problème. Mais une chose est sûre, il y a un problème avec l’eau de la ville. 

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